Pascaline Lepeltier, personnalité de l'année
Après un doublé historique fin 2018, 1re femme lauréate de la classe de sommellerie du concours des MOF et meilleure sommelier(e) de France, Pascaline Lepeltier vient d’être nommée "personnalité de l’année" 2019 par la Revue du vin de France. (©Jean Bernard)
Grandie en Anjou – un terreau prédestiné –, la sommelière Pascaline Lepeltier, vit à New York, où elle s’adonne à sa passion pour les vins biologiques au sein du restaurant gastronomique Racines, situé dans le quartier de Tribeca. Là, elle veille sur quelque 2 500 références dont 80 % sont cultivés et élevés en bio et biodynamie.
Diplômée de philosophie, la jeune femme de 38 ans est venue à la sommellerie après un coup de cœur, révélée à elle-même par une dégustation. Après l’esprit, le corps s’en est mêlé et aujourd’hui, comme un juste retour des choses suite à un parcours professionnel accompli de bas en haut, son palais raffiné est plébiscité.
« C’est fantastique et irréel d’être ainsi reconnue par la prestigieuse revue, moi qui ne suis qu’une passeuse », a-t-elle confié à l’AFP. « J’ai accepté le prix de la RVF car je me vois comme un symbole de la nécessité de réfléchir à ce que l’on boit, à ce que l’on mange, à ce qu’il faut faire pour arrêter de massacrer les sols, et essayer d’être moteur pour transformer toute l’agriculture », a-t-elle ajouté, affirmant ainsi la nature profonde de son engagement.
Grandie en Anjou – un terreau prédestiné –, la sommelière Pascaline Lepeltier, vit à New York, où elle s’adonne à sa passion pour les vins biologiques au sein du restaurant gastronomique Racines, situé dans le quartier de Tribeca. Là, elle veille sur quelque 2 500 références dont 80 % sont cultivés et élevés en bio et biodynamie.
Diplômée de philosophie, la jeune femme de 38 ans est venue à la sommellerie après un coup de cœur, révélée à elle-même par une dégustation. Après l’esprit, le corps s’en est mêlé et aujourd’hui, comme un juste retour des choses suite à un parcours professionnel accompli de bas en haut, son palais raffiné est plébiscité.
« C’est fantastique et irréel d’être ainsi reconnue par la prestigieuse revue, moi qui ne suis qu’une passeuse », a-t-elle confié à l’AFP. « J’ai accepté le prix de la RVF car je me vois comme un symbole de la nécessité de réfléchir à ce que l’on boit, à ce que l’on mange, à ce qu’il faut faire pour arrêter de massacrer les sols, et essayer d’être moteur pour transformer toute l’agriculture », a-t-elle ajouté, affirmant ainsi la nature profonde de son engagement.