Célébration du Fin gras
Le millésime 2019 de la fête du Fin Gras (AOP), qui s’est déroulé début juin, aura été marqué par une météo exceptionnellement estivale. Belle occasion de célébrer le dixième anniversaire de la Maison du Fin Gras ! (© Bernard Bonnefoy)
Organisée pour la 1re fois en 1996, la fête du Fin gras se déroule à cheval sur les départements de Haute-Loire et d’Ardèche, zone de production de cette viande de bœuf finement persillée reconnue Appellation d’origine protégée. Cette année, une fois encore, les visiteurs sont venus nombreux (7 à 8 000 personnes sur le week-end), le samedi à Chaudeyrolles (43) et le dimanche au Béage (07) où ils ont pu déguster deux cuisses de bœuf cuites à la broche par un boucher ardéchois de la maison Borelly.
Pour le Fin gras, la saison 2019 s’annonce bonne avec 1 200 bêtes commercialisées et une augmentation du nombre de points de vente, localement ainsi qu’en vallée du Rhône et Région parisienne. Bernard Bonnefoy – président de l’association Fin gras du Mézenc – a profité de l’événement pour souligner l’importance de continuer à veiller au bon respect du cahier des charges. Les gourmets, qui n’ont pu goûter à ce met délicat, pourront se rattraper jusqu’à juillet, voire un peu plus tard selon la maturation choisie par leur boucher.
![]()
Organisée pour la 1re fois en 1996, la fête du Fin gras se déroule à cheval sur les départements de Haute-Loire et d’Ardèche, zone de production de cette viande de bœuf finement persillée reconnue Appellation d’origine protégée. Cette année, une fois encore, les visiteurs sont venus nombreux (7 à 8 000 personnes sur le week-end), le samedi à Chaudeyrolles (43) et le dimanche au Béage (07) où ils ont pu déguster deux cuisses de bœuf cuites à la broche par un boucher ardéchois de la maison Borelly.
Pour le Fin gras, la saison 2019 s’annonce bonne avec 1 200 bêtes commercialisées et une augmentation du nombre de points de vente, localement ainsi qu’en vallée du Rhône et Région parisienne. Bernard Bonnefoy – président de l’association Fin gras du Mézenc – a profité de l’événement pour souligner l’importance de continuer à veiller au bon respect du cahier des charges. Les gourmets, qui n’ont pu goûter à ce met délicat, pourront se rattraper jusqu’à juillet, voire un peu plus tard selon la maturation choisie par leur boucher.