Euro-Toques lance une pétition
L’association Euro-Toques France a lancé sa pétition en faveur d’un élevage de qualité et contre la viande issue de cellules souches. (D.R. Euro-Toques)
Non à la viande de laboratoire ! A l’occasion d’une rencontre régionale entre chefs cuisiniers de la région Auvergne-Rhône-Alpes et acteurs des métiers de la boucherie organisée fin septembre, l’association Euro-Toques France, co-présidée par les chefs Michel Roth (MOF et Bocuse d’Or 1991) et Guillaume Gomez (Chef du Palais de la République, MOF 2004) a lancé officiellement sa pétition en faveur d’un élevage de qualité et contre la viande issue de cellules souches. Le président Michel Roth a rappelé les raisons de l’engagement d’Euro-Toques : « Nous nous devons de préserver un écosystème paysagé et valoriser un modèle d’élevage fait de petites exploitations avec des animaux élevés au pré qui favorise le bien-être animal, la montée en gamme, le respect des savoir-faire, la maturation de la viande, l’art de la découpe… Tout en refusant la « viande » de laboratoire issue de cellules souches. En tant que chefs, il est important d’être plus présents dans le domaine public et communiquer davantage sur l’importance de consommer de la viande de meilleure qualité, quitte à en consommer moins. » Les chefs Euro-Toques France invitent les citoyens à s’interroger sur l’impact environnemental, nutritionnel sanitaires de ces viandes issues de laboratoires. Les chefs cuisiniers Euro-Toques se battent pour sauver l’élevage traditionnel. Ils souhaitent transmettre la culture alimentaire française et continuer à valoriser les appellations d’origine et l’importance de manger une viande de caractère, transformée et cuisinée dans les restaurants.
Cette pétition qui peut être signée en ligne entend ainsi conjuguer qualité, respect de l’environnement et bien-être animal pour sauver notre agriculture, nos éleveurs de proximité et la culture gastronomique française. À la demande d’Euro-Toques France, cette pétition sera également portée dans les prochaines semaines par les chefs Euro-Toques d’une douzaine de pays européens, puis présentée à la Commission et au parlement européen.
Non à la viande de laboratoire ! A l’occasion d’une rencontre régionale entre chefs cuisiniers de la région Auvergne-Rhône-Alpes et acteurs des métiers de la boucherie organisée fin septembre, l’association Euro-Toques France, co-présidée par les chefs Michel Roth (MOF et Bocuse d’Or 1991) et Guillaume Gomez (Chef du Palais de la République, MOF 2004) a lancé officiellement sa pétition en faveur d’un élevage de qualité et contre la viande issue de cellules souches. Le président Michel Roth a rappelé les raisons de l’engagement d’Euro-Toques : « Nous nous devons de préserver un écosystème paysagé et valoriser un modèle d’élevage fait de petites exploitations avec des animaux élevés au pré qui favorise le bien-être animal, la montée en gamme, le respect des savoir-faire, la maturation de la viande, l’art de la découpe… Tout en refusant la « viande » de laboratoire issue de cellules souches. En tant que chefs, il est important d’être plus présents dans le domaine public et communiquer davantage sur l’importance de consommer de la viande de meilleure qualité, quitte à en consommer moins. » Les chefs Euro-Toques France invitent les citoyens à s’interroger sur l’impact environnemental, nutritionnel sanitaires de ces viandes issues de laboratoires. Les chefs cuisiniers Euro-Toques se battent pour sauver l’élevage traditionnel. Ils souhaitent transmettre la culture alimentaire française et continuer à valoriser les appellations d’origine et l’importance de manger une viande de caractère, transformée et cuisinée dans les restaurants.
Cette pétition qui peut être signée en ligne entend ainsi conjuguer qualité, respect de l’environnement et bien-être animal pour sauver notre agriculture, nos éleveurs de proximité et la culture gastronomique française. À la demande d’Euro-Toques France, cette pétition sera également portée dans les prochaines semaines par les chefs Euro-Toques d’une douzaine de pays européens, puis présentée à la Commission et au parlement européen.