Yannick Recobre vise l'excellence
Artisan boulanger à Saint-Mamet-la-Salvetat dans le Cantal, Yannick Recobre a choisi d’adhérer à la marque-label « Boulanger de France ».
Créée par la Confédération Nationale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie Française, ce label met en avant une véritable démarche qualité. « Pour que les consommateurs différencient clairement les artisans boulangers qui s’engagent des acteurs de la boulangerie industrielle. » L’artisan boulanger s’engage en effet en termes de fabrication, de bien-être, d’hygiène ou encore d’accueil, à tout fabriquer lui-même : pains, croissants, pains au chocolat (ou chocolatines selon la région !), pains aux raisins (ou escargots), brioches, pains au lait, galettes des rois (ou gâteaux des rois), éclairs, religieuses, millefeuilles, Paris-Brest, opéras, tartes aux fruits, flans, chaussons aux pommes, quiches, pizzas et sandwiches…
Le professionnel s’engage aussi à fabriquer le pain avec un pétrissage peu intense et une fermentation lente pour conserver les arômes et augmenter la conservation, à respecter un taux de sel inférieur ou égal à 18g par kg de farine pour tous les pains. Et à privilégier les circuits courts d’approvisionnement et les produits de saison.
Avec cette charte qui marque ainsi l’identité de la boulangerie artisanale — la profession répond aux attentes 12 millions de consommateurs quotidien — « Boulanger de France » part ainsi à la reconquête de son marché grâce à l’esprit d’excellence et au savoir-faire qui devrait être mis en avant par chacun des artisans boulangers et boulangers-pâtissiers.
Christian Vabret, Président de la Fédération des Boulangers et Boulangers-Pâtissiers du Cantal mobilise et soutient les boulangers de son département qui s’engage dans cette démarche.
Un joli parcours
Originaire de Marcolès, Yannick Recobre peut s’enorgueillir d’un joli parcours : CAP Pâtissier à Brassac-les-Mines, mention complémentaire à l’IFPP d’Aurillac en contrat d’apprentissage avec la pâtisserie Vaille, BTM Pâtissier à Yssingeaux… Il a ensuite passé trois années à la Boulangerie-Pâtisserie Alain Vabret à Aurillac avant de reprendre, en 2017, la boulangerie de Saint-Mamet avec pour leitmotiv la qualité, les circuits courts, le tout fait maison.
En outre, en son Croissant doré, l’artisan développe une belle gamme en pâtisserie, chocolaterie et, depuis un an, en service traiteur avec l’arrivée dans l’entreprise de sa compagne Sophie Gerbeau, en charge de cette partie de la production.
![]()
Créée par la Confédération Nationale de la Boulangerie et Boulangerie-Pâtisserie Française, ce label met en avant une véritable démarche qualité. « Pour que les consommateurs différencient clairement les artisans boulangers qui s’engagent des acteurs de la boulangerie industrielle. » L’artisan boulanger s’engage en effet en termes de fabrication, de bien-être, d’hygiène ou encore d’accueil, à tout fabriquer lui-même : pains, croissants, pains au chocolat (ou chocolatines selon la région !), pains aux raisins (ou escargots), brioches, pains au lait, galettes des rois (ou gâteaux des rois), éclairs, religieuses, millefeuilles, Paris-Brest, opéras, tartes aux fruits, flans, chaussons aux pommes, quiches, pizzas et sandwiches…
Le professionnel s’engage aussi à fabriquer le pain avec un pétrissage peu intense et une fermentation lente pour conserver les arômes et augmenter la conservation, à respecter un taux de sel inférieur ou égal à 18g par kg de farine pour tous les pains. Et à privilégier les circuits courts d’approvisionnement et les produits de saison.
Avec cette charte qui marque ainsi l’identité de la boulangerie artisanale — la profession répond aux attentes 12 millions de consommateurs quotidien — « Boulanger de France » part ainsi à la reconquête de son marché grâce à l’esprit d’excellence et au savoir-faire qui devrait être mis en avant par chacun des artisans boulangers et boulangers-pâtissiers.
Christian Vabret, Président de la Fédération des Boulangers et Boulangers-Pâtissiers du Cantal mobilise et soutient les boulangers de son département qui s’engage dans cette démarche.
Un joli parcours
Originaire de Marcolès, Yannick Recobre peut s’enorgueillir d’un joli parcours : CAP Pâtissier à Brassac-les-Mines, mention complémentaire à l’IFPP d’Aurillac en contrat d’apprentissage avec la pâtisserie Vaille, BTM Pâtissier à Yssingeaux… Il a ensuite passé trois années à la Boulangerie-Pâtisserie Alain Vabret à Aurillac avant de reprendre, en 2017, la boulangerie de Saint-Mamet avec pour leitmotiv la qualité, les circuits courts, le tout fait maison.
En outre, en son Croissant doré, l’artisan développe une belle gamme en pâtisserie, chocolaterie et, depuis un an, en service traiteur avec l’arrivée dans l’entreprise de sa compagne Sophie Gerbeau, en charge de cette partie de la production.