Votre artisan boulanger ne plaisante pas !
La Fédération des artisans boulangers-pâtissiers du Puy-de-Dôme et de l'Allier a lancé sa nouvelle campagne de communication avec une signature unique « mon boulanger ne plaisante pas avec la qualité ». (©Ludovic Combe)
À l’occasion des fêtes de Pâques, deuxième plus gros week-end après Noël en matière de vente de chocolats, la Fédération des artisans boulangers-pâtissiers du Puy-de-Dôme et de l’Allier a lancé sa nouvelle campagne de communication : « Mon boulanger ne plaisante pas avec la qualité ». Un bon moyen pour que les artisans boulangers de France fassent entendre leur voix pour remettre au centre de la table leur savoir-faire et la qualité de leurs produits. Avec cette campagne, qui se déroulera jusqu’au 12 avril, ils sortent de l’ombre pour crier haut et fort leurs valeurs. « Depuis de nombreuses années, il y a une confusion entre la boulangerie semi-industrielle et la boulangerie artisanale. Pourtant notre métier est reconnu de partout comme un savoir-faire français », argumente Xavier Bordet, président de la Fédération des artisans boulangers-pâtissiers du Puy-de-Dôme et de l’Allier. « Comme je me plais à le dire, le seul mot dont je connais bien la signification et que je sais dire dans toutes les langues, c’est baguette. Avant la crise sanitaire, les consommateurs ne se rendaient pas compte que derrière un bon produit, il y a avant tout une vraie dimension humaine. En effet, on trouve entre 6 et 10 fois plus de personnel dans une boulangerie artisanale que dans une boulangerie semi-industrielle. Maintenant, ils prennent conscience que faire venir des camions du monde entier, ne tient plus debout. »
Un ton décalé
Cette qualité, on la retrouve dans le cahier des charges qui engage les boulangers de France à fabriquer entièrement maison l’intégralité de leurs pains, viennoiseries, certains produits de la pâtisserie et du snacking tels que le flan pâtissier, le millefeuille, la quiche ou encore la pizza. Les boulangers de France doivent également respecter un taux de sel inférieur ou égal à 18 g par kg de farine pour tous les pains, fabriquer le pain avec un pétrissage peu intense et une fermentation lente pour conserver les arômes et augmenter la conservation. Enfin, ils doivent privilégier les circuits courts d’approvisionnement et les produits de saison. La plus-value des artisans Boulangers de France, c’est « le fait-maison ». C’est indéniablement ce que veut faire comprendre la Fédération du Puy-de-Dôme et de l’Allier au travers de cette campagne un peu décalée. Et pour incarner cette nouvelle campagne 100% digitale (Facebook et Instagram de la Fédération des artisans boulangers-pâtissiers du Puy-de-Dôme et de l’Allier.), Jérôme Valette, boulanger à Chamalières, n’a pas hésité à prendre la pose, l’air décidé, devant l’objectif de Ludovic Combe. Dans l’ambiance feutrée de sa boulangerie, le produit apporte toute la lumière. Il se reflète sur le visage d’un homme, celui qui en est à l’origine. Avec dextérité et passion, Jérôme Valette est concentré sur son ouvrage. Lorsqu’il relève la tête vers l’objectif, c’est pour faire comprendre en un regard qu’il ne plaisante pas avec la qualité. Depuis aujourd’hui vendredi 2 avril, la campagne est également diffusée au travers d’une courte vidéo mettant en scène Jérôme Vallette. Un format impactant pour capter l’attention des internautes et les immerger dans l’univers des boulangers-pâtissiers.
À l’occasion des fêtes de Pâques, deuxième plus gros week-end après Noël en matière de vente de chocolats, la Fédération des artisans boulangers-pâtissiers du Puy-de-Dôme et de l’Allier a lancé sa nouvelle campagne de communication : « Mon boulanger ne plaisante pas avec la qualité ». Un bon moyen pour que les artisans boulangers de France fassent entendre leur voix pour remettre au centre de la table leur savoir-faire et la qualité de leurs produits. Avec cette campagne, qui se déroulera jusqu’au 12 avril, ils sortent de l’ombre pour crier haut et fort leurs valeurs. « Depuis de nombreuses années, il y a une confusion entre la boulangerie semi-industrielle et la boulangerie artisanale. Pourtant notre métier est reconnu de partout comme un savoir-faire français », argumente Xavier Bordet, président de la Fédération des artisans boulangers-pâtissiers du Puy-de-Dôme et de l’Allier. « Comme je me plais à le dire, le seul mot dont je connais bien la signification et que je sais dire dans toutes les langues, c’est baguette. Avant la crise sanitaire, les consommateurs ne se rendaient pas compte que derrière un bon produit, il y a avant tout une vraie dimension humaine. En effet, on trouve entre 6 et 10 fois plus de personnel dans une boulangerie artisanale que dans une boulangerie semi-industrielle. Maintenant, ils prennent conscience que faire venir des camions du monde entier, ne tient plus debout. »
Un ton décalé
Cette qualité, on la retrouve dans le cahier des charges qui engage les boulangers de France à fabriquer entièrement maison l’intégralité de leurs pains, viennoiseries, certains produits de la pâtisserie et du snacking tels que le flan pâtissier, le millefeuille, la quiche ou encore la pizza. Les boulangers de France doivent également respecter un taux de sel inférieur ou égal à 18 g par kg de farine pour tous les pains, fabriquer le pain avec un pétrissage peu intense et une fermentation lente pour conserver les arômes et augmenter la conservation. Enfin, ils doivent privilégier les circuits courts d’approvisionnement et les produits de saison. La plus-value des artisans Boulangers de France, c’est « le fait-maison ». C’est indéniablement ce que veut faire comprendre la Fédération du Puy-de-Dôme et de l’Allier au travers de cette campagne un peu décalée. Et pour incarner cette nouvelle campagne 100% digitale (Facebook et Instagram de la Fédération des artisans boulangers-pâtissiers du Puy-de-Dôme et de l’Allier.), Jérôme Valette, boulanger à Chamalières, n’a pas hésité à prendre la pose, l’air décidé, devant l’objectif de Ludovic Combe. Dans l’ambiance feutrée de sa boulangerie, le produit apporte toute la lumière. Il se reflète sur le visage d’un homme, celui qui en est à l’origine. Avec dextérité et passion, Jérôme Valette est concentré sur son ouvrage. Lorsqu’il relève la tête vers l’objectif, c’est pour faire comprendre en un regard qu’il ne plaisante pas avec la qualité. Depuis aujourd’hui vendredi 2 avril, la campagne est également diffusée au travers d’une courte vidéo mettant en scène Jérôme Vallette. Un format impactant pour capter l’attention des internautes et les immerger dans l’univers des boulangers-pâtissiers.