Le gâteau de Yanis, le meilleur de France ?
Le jeune Aurillacois Yanis Ols participe à la deuxième semaine de l’émission proposée par M6 : Mon gâteau est le meilleur de France. Il est qualifié pour la finale de la semaine. (©capture M6)
Se mettre derrière les fourneaux le dimanche pour cuisiner un délicieux gâteau, tout le monde l’a déjà fait, chacun a sa recette de famille ou son ingrédient secret qui se transmet de génération en génération. Mais qui fait LE meilleur gâteau de France ? C’est pour répondre à cette gourmande question que Cyril Lignac, accompagné de Merouan Bounekraf, Louise Petitrenaud et Pépée le Mat, a parcouru l’Hexagone. Plusieurs centaines de candidats viendront ainsi présenter leurs plus beaux gâteaux maison, au cours d’une intense phase d’audition pâtissière.
Pas si facile
Parmi eux, Yanis Ols, Aurillacois de 18 ans, élève de Terminale S au moment du tournage (juin 2020). « Tout petit, j’ai été attiré par la cuisine, les casseroles. Mais surtout, par la pâtisserie, plus minutieuse, plus exigeante », explique le candidat devenu aujourd’hui apprenti à la Maison Proumen à Aurillac. Alors quand l’opportunité du casting s’est présentée, Yanis n’a pas hésité : « Je me suis préparé chez moi, à partir de recettes que j’avais pu travailler lors de mes stages en classes de troisième et de première. Je me suis plongé dans les livres de Cyril Lignac, Pierre Hermé, Cédric Grolet… et j’ai suivi des ateliers sur youtube. » Jugé quotidiennement et sans ménagement par ses parents, sa famille et ses amis, Yanis a vite mesuré la difficulté de passer de simple — bavaroises, mousses — à plus compliqué : « Le feuilletage par exemple… »
Prise de confiance
Sélectionné pour la région Sud-ouest (la France est divisée en 7 zones pour l’occasion), Yanis Ols s’est alors rendu à Saint-Emilion pour présenter son gâteau signature : « En réalité, une création spéciale réalisée à la maison et transportée en glacière pendant les trois heures de route… Une première aventure! » Face au jury, le doute s’installe : «J’ai été envahi par le doute, des pensées négatives. Je me suis dit que ça n’allait pas leur plaire du tout… Mais cette expérience m’a permis de prendre de la confiance et de me conforter dans mon idée de devenir pâtissier. » (il voulait être contrôleur aérien).
Après avoir passé la sélection haut la main avec son Eclat, Yanis a bluffé le jury avec son trompe-l’oeil Burger (sans frite !) et s’est qualifié pour la finale de la semaine. En cas de victoire, il représentera la partie sud-ouest de la France en finale pour, peut-être, décrocher le titre de Mon gâteau est le meilleur de France. Rendez-vous vendredi, 18h35 sur M6.
Et ensuite ?
Seuls les meilleurs candidats seront qualifiés pour la suite du concours et soumis à une sélection exigeante. Ils devront montrer toutes leurs capacités pâtissières — techniques et créatives — pour réussir les épreuves redoutables qui les attendent. Seul un pâtissier verra son gâteau couronné Meilleur de France et ce grand gagnant aura l’honneur de voir son gâteau mis en vente en plusieurs dizaines de milliers d’exemplaires dans une prestigieuse enseigne de pâtisserie, fondée par le pâtissier Jean-François Feuillette.
Se mettre derrière les fourneaux le dimanche pour cuisiner un délicieux gâteau, tout le monde l’a déjà fait, chacun a sa recette de famille ou son ingrédient secret qui se transmet de génération en génération. Mais qui fait LE meilleur gâteau de France ? C’est pour répondre à cette gourmande question que Cyril Lignac, accompagné de Merouan Bounekraf, Louise Petitrenaud et Pépée le Mat, a parcouru l’Hexagone. Plusieurs centaines de candidats viendront ainsi présenter leurs plus beaux gâteaux maison, au cours d’une intense phase d’audition pâtissière.
Pas si facile
Parmi eux, Yanis Ols, Aurillacois de 18 ans, élève de Terminale S au moment du tournage (juin 2020). « Tout petit, j’ai été attiré par la cuisine, les casseroles. Mais surtout, par la pâtisserie, plus minutieuse, plus exigeante », explique le candidat devenu aujourd’hui apprenti à la Maison Proumen à Aurillac. Alors quand l’opportunité du casting s’est présentée, Yanis n’a pas hésité : « Je me suis préparé chez moi, à partir de recettes que j’avais pu travailler lors de mes stages en classes de troisième et de première. Je me suis plongé dans les livres de Cyril Lignac, Pierre Hermé, Cédric Grolet… et j’ai suivi des ateliers sur youtube. » Jugé quotidiennement et sans ménagement par ses parents, sa famille et ses amis, Yanis a vite mesuré la difficulté de passer de simple — bavaroises, mousses — à plus compliqué : « Le feuilletage par exemple… »
Prise de confiance
Sélectionné pour la région Sud-ouest (la France est divisée en 7 zones pour l’occasion), Yanis Ols s’est alors rendu à Saint-Emilion pour présenter son gâteau signature : « En réalité, une création spéciale réalisée à la maison et transportée en glacière pendant les trois heures de route… Une première aventure! » Face au jury, le doute s’installe : «J’ai été envahi par le doute, des pensées négatives. Je me suis dit que ça n’allait pas leur plaire du tout… Mais cette expérience m’a permis de prendre de la confiance et de me conforter dans mon idée de devenir pâtissier. » (il voulait être contrôleur aérien).
Après avoir passé la sélection haut la main avec son Eclat, Yanis a bluffé le jury avec son trompe-l’oeil Burger (sans frite !) et s’est qualifié pour la finale de la semaine. En cas de victoire, il représentera la partie sud-ouest de la France en finale pour, peut-être, décrocher le titre de Mon gâteau est le meilleur de France. Rendez-vous vendredi, 18h35 sur M6.
Et ensuite ?
Seuls les meilleurs candidats seront qualifiés pour la suite du concours et soumis à une sélection exigeante. Ils devront montrer toutes leurs capacités pâtissières — techniques et créatives — pour réussir les épreuves redoutables qui les attendent. Seul un pâtissier verra son gâteau couronné Meilleur de France et ce grand gagnant aura l’honneur de voir son gâteau mis en vente en plusieurs dizaines de milliers d’exemplaires dans une prestigieuse enseigne de pâtisserie, fondée par le pâtissier Jean-François Feuillette.