Nouveau chef au Pile Poêle
Depuis le début du mois d’octobre, c'est Romain Giot, 26 ans, qui officie au Pile Poêle à Clermont-Ferrand. (©Thomas Bournel)
Romain Giot a débarqué en Auvergne il y a quelques années déjà, à la Brasserie Le 50 au Chambon-sur-Lac. Formé par Séverine Dabert et Vincent Chevarin, le natif des Yvelines quitte le massif du Sancy et choisit l’altitude alpine en réalisant les saisons hivernales chez Nicolas Desnier au restaurant Le Peille (Haute-Savoie). Puis la crise du Covid s’est invitée dans son parcours : il saisit alors l’opportunité de s’exiler à Madrid, au service d’un homme d’affaires français. « J’étais chef privé, je gérais ses repas au quotidien ainsi que ses réceptions. Une super expérience, qui m’a permis de découvrir une autre facette de la cuisine. » Mais quand on a goûté à l’Auvergne, on finit toujours par y revenir et aujourd’hui, le chef a désormais bien l’intention de poser ses valises pour un long moment. « L’idée est bien sûr de rester dans l’esprit du Pile Poêle, une institution ici : proposer une cuisine traditionnelle, raffinée, en respectant la charte de Maître restaurateur. Mais j’ai bien l’intention, aussi, d’apporter une touche de modernité aussi bien dans l’assiette que le dressage. » Parmi ses plats au restaurant : l’épaule d’agneau confite, réduction de jus d’agneau, le tout fait maison cela va sans dire car c’est bien le chef qui réalise l’ensemble de ses sauces et de ses jus. La côte de bœuf à partager sauce chimichurri a elle aussi ses fans… « Je suis assez fier aujourd’hui de travailler dans ce restaurant de renom de la place clermontoise. »
Romain Giot a débarqué en Auvergne il y a quelques années déjà, à la Brasserie Le 50 au Chambon-sur-Lac. Formé par Séverine Dabert et Vincent Chevarin, le natif des Yvelines quitte le massif du Sancy et choisit l’altitude alpine en réalisant les saisons hivernales chez Nicolas Desnier au restaurant Le Peille (Haute-Savoie). Puis la crise du Covid s’est invitée dans son parcours : il saisit alors l’opportunité de s’exiler à Madrid, au service d’un homme d’affaires français. « J’étais chef privé, je gérais ses repas au quotidien ainsi que ses réceptions. Une super expérience, qui m’a permis de découvrir une autre facette de la cuisine. » Mais quand on a goûté à l’Auvergne, on finit toujours par y revenir et aujourd’hui, le chef a désormais bien l’intention de poser ses valises pour un long moment. « L’idée est bien sûr de rester dans l’esprit du Pile Poêle, une institution ici : proposer une cuisine traditionnelle, raffinée, en respectant la charte de Maître restaurateur. Mais j’ai bien l’intention, aussi, d’apporter une touche de modernité aussi bien dans l’assiette que le dressage. » Parmi ses plats au restaurant : l’épaule d’agneau confite, réduction de jus d’agneau, le tout fait maison cela va sans dire car c’est bien le chef qui réalise l’ensemble de ses sauces et de ses jus. La côte de bœuf à partager sauce chimichurri a elle aussi ses fans… « Je suis assez fier aujourd’hui de travailler dans ce restaurant de renom de la place clermontoise. »